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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Synthèse - Rapport d'info... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Rapport - Rapport d'infor... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Sénat / Commission de l'aménagement du territoire - Infographie - Rapport d'i... - 0 views

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    Si rien n'est fait pour réduire son impact sur l'environnement, le numérique pourrait représenter près de 7 % des émissions de gaz à effet de serre de la France en 2040, soit une augmentation de 60 % par rapport à aujourd'hui. C'est ce que montrent les résultats des travaux menés depuis six mois par la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique, qui présente 25 propositions pour une transition numérique écologique. Secteur économique majeur, le numérique est pourtant largement ignoré en tant que tel des politiques publiques visant à atteindre les objectifs climatiques fixés par l'Accord de Paris : il n'existe pas de stratégie transversale publique visant à en atténuer les impacts environnementaux. Les chiffres dévoilés par la mission montrent que : - les terminaux sont à l'origine d'une très grande part des impacts environnementaux du numérique (81 %), plus encore qu'à l'échelle mondiale (63 % des gaz à effet de serre émis par le secteur selon le GreenIT.fr), - la fabrication et la distribution (la "phase amont") de ces terminaux utilisés en France sont responsables de 70 % de l'empreinte carbone totale du numérique en France, alors que cette proportion est de 40 % au niveau mondial. Les implications de ces constats sont majeures. La réduction de l'empreinte carbone du numérique en France devra en effet tout particulièrement passer par une limitation du renouvellement des terminaux, alors que la durée de vie d'un smartphone est aujourd'hui de 23 mois. Il s'agit d'un impératif environnemental mais aussi économique : en passant du tout-jetable à un modèle circulaire, les politiques publiques peuvent favoriser la création durable d'emplois non délocalisables, et implantés dans les territoires. "À cet égard, la réduction de l'empreinte environnementale du numérique en France constitue également un acte de souveraineté économique" a souligné
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Terra Nova - Finance climat : le temps de l'action - Sept propositions pour la France ... - 0 views

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    Cette note de Terra Nova vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. La COP21 à Paris a placé la question de la finance climat au cœur de tous les enjeux sur des avancées concrètes dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour autant, elle n'a pas défini d'objectifs chiffrés à la hauteur des besoins financiers (les 100 milliards de dollars de transferts annuel Nord Sud sont loin d'épuiser les besoins de financement), ni d'outils particuliers à mettre immédiatement en oeuvre. Que ce soit lors de la COP22, qui se proclame elle-même « la COP de l'action », ou dans les prochains mois de mise en œuvre de l'Accord de Paris, la réflexion sur la manière d'aligner les flux financiers avec les objectifs de d'atténuation et d'adaptation que ce sont fixés les pays à travers l'accord de Paris devra connaître des avancées décisives. Cette note vise à montrer comment la France et l'Europe, fortes d'une légitimité sur les questions climatiques en général, et de finance climat en particulier, pourraient jouer un rôle clé dans la redéfinition d'un cadre financier global pour accompagner la transition vers un monde neutre en carbone. Elle avance sept propositions concrètes pour consolider l'écosystème français existant sur les questions de finance climat, réduire les conséquences financières du risque systémique climatique, agir sur les rendements des investissements bas carbone, et offrir un horizon à l'Union Européenne qui l'éloigne du spectre actuel de la stagnation séculaire. Proposition 1 : Promouvoir par la coordination de la puissance publique et des acteurs financiers privés l'émergence de la place de Paris comme hub européen d
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The Shift Projet - Dossier de presse - Mobiliser l'enseignement supérieur pou... - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Résumé - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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The Shift Projet - Rapport - Mobiliser l'enseignement supérieur pour le climat - 0 views

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    Le contexte Les enjeux soulevés par le changement climatique n'ont jamais été aussi prégnants. Ils sont étroitement liés à l'énergie - d'origine fossile à 80 % aujourd'hui - qui alimente depuis près de 150 ans le développement économique mondial. Qu'il s'agisse d'atténuer notre impact, de réduire notre dépendance ou de nous adapter aux bouleversements à venir, les répercussions sur l'économie et la société seront d'une ampleur sans précédent. Ces perspectives sont à la fois profondément inquiétantes et éminemment complexes. Y faire face exige une population certes sensibilisée, mais aussi informée et formée - notamment en tant que futurs élus, électeurs, parents et professionnels de tous les secteurs (de la santé à l'industrie, en passant par la culture et la fonction publique). Il ne s'agit pas de former uniquement aux métiers dits « verts ». En effet, bien qu'à des degrés divers, tous les métiers sont concernés. Et la compréhension des faits est vitale. Le défi : former les étudiants pour décarboner la société Or, les enjeux climat-énergie sont encore peu enseignés, et a fortiori dans la formation post-bac, qui accueille chaque année 6,5 % de la population « en âge de travailler » (15-64 ans). L'enseignement supérieur doit donc former tous les étudiants aux enjeux climat-énergie. Partant de ce constat, The Shift Project propose un état des lieux de la manière dont ces sujets sont abordés, et identifie des pistes d'actions concrètes autour desquelles mobiliser la communauté du supérieur. Ces actions visent à permettre le développement massif et rapide de l'enseignement des enjeux climat-énergie, donc à doter la France des moyens humains nécessaires à ses objectifs climatiques. La demande est forte, mais l'offre est limitée La demande est forte chez les étudiants et lycéens. Leur mobilisation, massive et inédite, appelle à une réponse académique profon
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Observatoire des territoires - Rapport complet - Les mobilités résidentielles... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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Observatoire des territoires - Synthèse - Les mobilités résidentielles en Fra... - 0 views

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    Quels sont les impacts territoriaux des mobilités résidentielles, en France ? Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires analyse ces mouvements et identifie certains enjeux qu'ils soulèvent pour la cohésion sociale et territoriale. Et nouveauté, cette année, le rapport - présenté à la presse, le 22 février, par Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires, et par l'équipe de l'Observatoire - s'accompagne d'un outil interactif de diagnostic territorial et d'une synthèse immersive pour permettre à tous de mieux appréhender les données de l'étude. Les mobilités résidentielles participent d'une lente transformation des territoires français et contribuent, notamment, à accentuer ou à atténuer leur dynamisme démographique. Aux échelles régionales et départementales, les disparités de dynamisme migratoire sont de plus en plus fortes. Au contraire, à l'échelle locale, les écarts se réduisent entre les différents types de territoires (pôles urbains, espaces périurbains ou communes rurales), sous l'effet d'un mouvement de desserrement de la population, mais leur spécialisation sociale s'accroît. Le rapport 2018 de l'Observatoire des territoires dévoile ainsi les différentes facettes des mobilités résidentielles dans notre pays. Une mobilité de proximité et des effets contrastés Le rapport révèle quelques caractéristiques de la mobilité en France. « Une idée reçue voudrait que les Français soient peu mobiles. C'est à la fois vrai et faux : chaque année, un peu plus d'un Français sur dix change de logement, mais ce taux de mobilité est supérieur à la moyenne européenne (11 % contre 9 % par an), expose l'équipe de l'Observatoire. Plus des deux tiers de ceux qui déménagent se réinstallent dans le même département. L'ancrage territorial reste bien le phénomène majoritaire. » Mais, à y regarder de plus près, l'étu
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L'Obsoco - La consommation et l'achat au temps du coronavirus…et après - 0 views

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    "Les limites à la mobilité des citoyens pendant la phase de confinement, auxquelles se sont ajoutées les fermetures de nombreux magasins, de restaurants et de cafés, ont influencé considérablement les choix de consommation et d'achat. En outre, l'arrêt généralisé du travail, malgré l'extension du chômage partiel, a réduit les revenus de nombreux salariés qui ont dû faire face aussi à des dépenses non prévues pour l'achat de dispositifs de protection sanitaire (masques, gants, gel, etc.). Enfin le climat d'inquiétude - déclenché par la crise sanitaire -,   le nombre élevé de décès et les difficultés des hôpitaux, ont généré des peurs, voire des angoisses.    Tous ces facteurs ont débouché sur une baisse de la consommation globale. La chute du premier trimestre a été de 6% selon la Banque de France, et celle du deuxième trimestre serait encore plus importante (-20% en avril, selon l'Insee). Toutefois, il convient d'observer que l'évolution des différentes catégories de produits n'a pas été homogène.  La course au stockage a favorisé les produits alimentaires basiques (œufs, lait, fromages, pâtes, boîtes de conserve et café) qui ont augmenté dans des pourcentages très importants (entre 20 à 40%). Il en est de même pour les sources de protéines à longue conservation (légumes, conserves de poisson et de viandes) qui ont enregistré de fortes hausses.  L'orientation vers une alimentation plus saine, privilégiant les produits frais et naturels, a ainsi connu un arrêt, voire une régression, à l'exception des produits bio, dont les ventes se sont maintenues.  Mais la nécessité de prendre tous les repas en famille a favorisé la préparation de plats à la maison (tartes, pizza, pâtes), a augmenté la consommation domestique d'aliments autoproduits (biscuits, pains, jus de fruits, confitures, yaourts) et accru, entre autres, la demande de farine et de levure. "
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CREDOC - Synthèse - Les transports, premier facteur de bruit pour les Franci... - 0 views

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    D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores. Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
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CREDOC - Infographie - Les transports, premier facteur de bruit pour les Franciliens - 0 views

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    D'une façon générale, les Français comme l'ensemble des Européens se préoccupent en priorité de la pollution de l'air, de la pollution de l'eau et de l'impact sur la santé des produits chimiques utilisés dans les produits de tous les jours. Mais à l'échelle de leur logement et de leur quartier, c'est la pollution sonore qui les soucie le plus. L'Ile-de-France, où vivent 12 millions d'habitants, se distingue car elle est exposée à un fort niveau de nuisances sonores. En cause, un habitat concentré, une exceptionnelle densité des infrastructures de transports et des activités économiques. L'association Bruitparif, Observatoire du bruit en Ile-de-France, a confié au CRÉDOC la réalisation d'une enquête auprès des Franciliens pour caractériser la perception qu'ils ont des nuisances sonores. Les résultats montrent que le bruit dans les transports est celui qui gêne le plus les habitants devant ceux de l'espace public, du domicile, du travail, et des loisirs. Un quart des Franciliens auraient déjà songé à déménager à cause du bruit. 4 sur 10 déclarent avoir déjà ressenti les effets du bruit sur leur santé, notamment des problèmes d'audition mais aussi de la fatigue et de l'irritabilité. Une majorité se déclare favorable à la limitation de la circulation en ville et près des habitations ainsi qu'à des sanctions contre les deux-roues qu'ils jugent particulièrement bruyants. Beaucoup souhaiteraient avoir davantage d'information sur le bruit, notamment au moment de choisir un logement.
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IFOP - Les Français et le développement durable - 0 views

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    Plutôt méfiants à l'égard des actions des différents gouvernements pour agir en faveur du développement durable (confiance notée à 4,5/10) et conscients que les actions efficaces en faveur de la protection de la planète se font avant tout au travers d'initiatives citoyennes (les citoyens sont le premier acteur jugé le plus capable d'agir avec 37% de citations, devant l'Etat ou les entreprises), les Français semblent aujourd'hui prêts à investir cette problématique. En effet, plus de 8 sur 10 d'entre eux se sentent concernés par le développement durable (82%), près d'un quart affirmant être « tout à fait concernés » (24%). Dans les faits, la quasi-totalité d'entre eux réalise déjà certaines actions en sa faveur, en particulier via le tri des déchets (88%) ou encore le fait d'éviter la surconsommation (80%), qui sont de loin les deux actions les plus populaires. Viennent ensuite - et dans une mesure bien moindre - des actions ayant trait à : La consommation - recourir le plus possible à l'achat en vrac (43%) ou consommer uniquement du Made in France (38%) - puis le recours à des énergies vertes (30%) ; Sur les transports, les Français font des efforts pour les déplacements en avion (58%)- probablement car ils demeurent très occasionnels -, mais bien moins pour la voiture (36%). En revanche, l'engagement auprès d'associations luttant en faveur de l'environnement via la participation à des actions terrain (22%) ou le don (16%) ne concerne qu'une faible partie de la population. Si les plus jeunes se montrent plus concernés par le sujet (35% des 18-24 ans se déclarent « très concernés ») que leurs aînés (17% des 65 ans et plus), ils ont pourtant moins tendance à réaliser les gestes durables les plus communs. Ainsi, alors que 92% des plus de 35 ans déclarent pratiquer systématiquement le tri sélectif, ils ne sont que 69% chez les 18-24 ans. Le même phénomène s'observe nota
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Crédoc - Environnement: les jeunes ont de fortes inquiétudes mais leurs compo... - 0 views

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    "Depuis le début 2019, la grève des étudiants pour le climat, initiée par la militante suédoise Greta Thunberg, a déclenché une mobilisation internationale avec des déclinaisons dans de nombreux pays, dont la France. Cette mobilisation, ainsi que le fort vote écologiste des jeunes aux élections européennes, rend visible une jeunesse française convaincue de la réalité et de la gravité du changement climatique et pointant du doigt l'inaction politique. Les travaux menés par le CRÉDOC pour l'ADEME révèlent une réalité plus nuancée. Si les jeunes sont réellement inquiets et pénétrés de la catastrophe écologique annoncée, leurs comportements au quotidien ne sont pas bien différents de ceux des générations plus âgées. En particulier, les jeunes montrent un goût certain pour le shopping, les équipements et pratiques numériques, les voyages en avion et une alimentation peu durable. Ils ont des habitudes plus écologiques que leurs aînés dans deux domaines seulement : au quotidien, ils privilégient la marche, la bicyclette, les transports en commun, le covoiturage. Et ils montrent un intérêt fort pour les alternatives à l'achat neuf (achat d'occasion, location, emprunt, revente, troc, etc.). L'étude met à jour cinq pistes pour favoriser des actions concrètes pour l'environnement auprès des jeunes comme de l'ensemble de la population."
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Credoc - Infographie - Les Français et leurs territoires : vécus et attentes ... - 0 views

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    Comment maintenir le principe d'équité tout en encourageant la croissance nationale portée par des activités de plus en plus concentrées au sein des grandes métropoles ? Certains plaident en faveur d'une approche individuelle visant à encourager la mobilité résidentielle des personnes vivant dans des zones d'emploi sinistrées vers des territoires plus dynamiques. D'autres privilégient un renforcement de l'attractivité des territoires où la population diminue. Afin d'apprécier les attentes des Français sur ces questions, le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) a confié au Crédoc la réalisation d'une enquête nationale auprès d'un échantillon de 2 000 personnes âgées de 18 ans ou plus et résidant en France métropolitaine. Les résultats révèlent que près de trois Français sur dix ont le sentiment de vivre dans un territoire délaissé des pouvoirs publics. Ils estiment plus souvent que les autres qu'ils auraient davantage de chance de réaliser leurs projets de vie ailleurs. Pourtant, ils ne souhaitent pas plus déménager, à la fois parce que l'attachement à leur territoire est fort, mais aussi parce que les contraintes liées à une mobilité sont élevées. Comme l'ensemble des Français, leurs attentes vis-à-vis des pouvoirs publics se portent majoritairement en faveur d'un développement de leur territoire plutôt que des aides à la mobilité.
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Credoc - Synthèse - Les Français et leurs territoires : vécus et attentes vis... - 0 views

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    Comment maintenir le principe d'équité tout en encourageant la croissance nationale portée par des activités de plus en plus concentrées au sein des grandes métropoles ? Certains plaident en faveur d'une approche individuelle visant à encourager la mobilité résidentielle des personnes vivant dans des zones d'emploi sinistrées vers des territoires plus dynamiques. D'autres privilégient un renforcement de l'attractivité des territoires où la population diminue. Afin d'apprécier les attentes des Français sur ces questions, le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) a confié au Crédoc la réalisation d'une enquête nationale auprès d'un échantillon de 2 000 personnes âgées de 18 ans ou plus et résidant en France métropolitaine. Les résultats révèlent que près de trois Français sur dix ont le sentiment de vivre dans un territoire délaissé des pouvoirs publics. Ils estiment plus souvent que les autres qu'ils auraient davantage de chance de réaliser leurs projets de vie ailleurs. Pourtant, ils ne souhaitent pas plus déménager, à la fois parce que l'attachement à leur territoire est fort, mais aussi parce que les contraintes liées à une mobilité sont élevées. Comme l'ensemble des Français, leurs attentes vis-à-vis des pouvoirs publics se portent majoritairement en faveur d'un développement de leur territoire plutôt que des aides à la mobilité.
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Credoc - Près d'un Français sur trois estime vivre dans un territoire délaiss... - 0 views

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    "Comment maintenir le principe d'équité tout en encourageant la croissance nationale portée par des activités de plus en plus concentrées au sein des grandes métropoles ? Certains plaident en faveur d'une approche individuelle visant à encourager la mobilité résidentielle des personnes vivant dans des zones d'emploi sinistrées vers des territoires plus dynamiques. D'autres privilégient un renforcement de l'attractivité des territoires où la population diminue. Afin d'apprécier les attentes des Français sur ces questions, le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) a confié au Crédoc la réalisation d'une enquête nationale auprès d'un échantillon de 2 000 personnes âgées de 18 ans ou plus et résidant en France métropolitaine. Les résultats révèlent que près de trois Français sur dix ont le sentiment de vivre dans un territoire délaissé des pouvoirs publics. Ils estiment plus souvent que les autres qu'ils auraient davantage de chance de réaliser leurs projets de vie ailleurs. Pourtant, ils ne souhaitent pas plus déménager, à la fois parce que l'attachement à leur territoire est fort, mais aussi parce que les contraintes liées à une mobilité sont élevées. Comme l'ensemble des Français, leurs attentes vis-à-vis des pouvoirs publics se portent majoritairement en faveur d'un développement de leur territoire plutôt que des aides à la mobilité."
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Fondapol - L'agriculture bio et l'environnement - 0 views

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    L'un des arguments le plus souvent mobilisé par les adeptes de l'agriculture biologique pour justifier leur recours aux aliments issus de ce mode de production est son impact sur l'environnement, censé être meilleur que celui de l'agriculture dite conventionnelle. Alors que le marché du bio est en forte expansion et en sachant qu'aucun des critères de la certification bio n'a trait directement à des caractéristiques environnementales, il convient de s'interroger sur le bien-fondé de cet argument, et ce afin que les citoyens puissent choisir en connaissance de cause. Cette étude s'appuie sur la recherche scientifique afin d'analyser l'impact différencié des agricultures biologique et conventionnelle sur divers compartiments de l'environnement, à savoir : l'eau, l'air, la fertilité des sols, la biodiversité sauvage et l'utilisation de l'espace terrestre. Les principaux indicateurs utilisés seront les teneurs en différents éléments « polluants » de l'eau et de l'air, l'impact sur la production de gaz à effet de serre, la teneur des sols en matière organique et en éléments fertilisant minéraux, l'abondance de différentes espèces formant la biodiversité et, enfin, les surfaces nécessaires pour une production agricole suffisante.
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RCF - Le patriarche Bartholomée de Constantinople en visite en France - 0 views

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    "La plus haute autorité de l'orthodoxie du monde entretient une amitié forte avec la France. Il a été reçu par le Président de la République Emmanuel Macron. Ensemble ils ont parlé d'écologie, un sujet essentiel pour le patriarche surnommé "le patriarche vert". Bartholomée a aussi rencontré Mgr Éric de Moulins-Beaufort, le président de la Conférence des évêques de France. Un moment œcuménique particulièrement fort lors duquel il a été question de la célébration de Pâques à une date commune en 2025. "
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Nanterre - Conférence Laudato Si' - 0 views

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    "Mgr Jacques Turck est prêtre du diocèse de Nanterre et fondateur de la Maison d'Église Notre-Dame-de-Pentecôte dans le quartier de La Défense. Ancien directeur du conseil Famille et Société de la Conférence des évêques de France, il a enseigné et réfléchi sur la pensée sociale de l'Eglise. Il est notamment l'auteur de plusieurs ouvrages, dont « Selon les Ecritures. Les sources bibliques de la pensée sociale de l'Eglise » (Salvator, 2018). En deux diaporamas d'une trentaine de minutes chacun, réalisés en ces temps de confinement comme alternative à une formation qu'il devait donner dans le diocèse de Limoges, il propose une grille de (re)lecture de l'encyclique Laudato Si'. « Tout est lié », « tout est donné », « tout est fragile », trois clés de lecture, trois piliers autour desquels Laudato Si' est construit, mais aussi trois concepts et trois appels forts pour passer d'une écologie de correction à une écologie de fondation."
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